Pentcho Valev
2011-04-08 11:24:57 UTC
http://www.mefeedia.com/watch/36345447
Etienne Klein: "Le photon est un être mal poli qui ne dit bonjour à
personne, qui n'est pas couplé au champ de Higgs et qui n'a pas de
masse."
http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna38/pgs/7_8.pdf
Gilles COHEN-TANNOUDJI: "Pour rendre compatibles le principe de
relativité, selon lequel les lois de la nature s'expriment de la même
façon dans des référentiels inertiels en mouvement relatif rectiligne
et uniforme, et le principe d'invariabilité de la vitesse de la
lumière, Einstein a dû procéder à une véritable refondation de la
mécanique, remettant en cause la conception de la matière, de l'espace
et du temps. Cest maintenant l'énergie et non la masse qui joue le
rôle de caractéristique la plus fondamentale de la matière : la
lumière est une matière, mais c'est une matière qui a de l'énergie
sans avoir de masse."
http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php?class=ast&file=file_748_0_.pdf
Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir
comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister.
(...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en
attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement,
de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils
étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être
accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire
jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet
que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne
peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner
ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse."
Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne Klein, peut-être le photon dit-il
bounjour au champ de gravitation? Est-ce qu'il y a une accélération
des photons dans un champ de gravitation? Est-ce que les photons et
les boulets de canon subissent la même accélération?
http://www.aredam.net/einstein_plagiaire.pdf
pp. 33-34: "Dans un article de juin 1911, Einstein reprit les idées de
son article de 1907, qui découlaient de l'hypothèse de Planck sur la
pesanteur de l'énergie. Mais cette fois il abandonna la relativité
"habituelle", d'autant plus facilement qu'il n'en était pas l'auteur,
en renonçant explicitement au principe de la constance de la vitesse
de la lumière. Et cet abandon lui permit de calculer la courbure d'un
rayon lumineux dans un champ de gravitation, qu'il estima à 0,85 d'arc
pour un rayon rasant le soleil, en appliquant le principe de Huygens,
du mathématicien et physicien Christiaan Huygens (1629-1695), valable
dans les milieux d'indices de réfraction variables. Ce résultat avait,
en fait, déjà été établi par l'astronome allemand Soldner en 1803, en
partant de la théorie de l'émission de la lumière de Newton."
http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."
http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace."
http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]. If this were
not so, there would be no bending of light by the gravitational field
of stars....Indeed, this is exactly how Einstein did the calculation
in: 'On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light,'
Annalen der Physik, 35, 1911. which predated the full formal
development of general relativity by about four years. This paper is
widely available in English. You can find a copy beginning on page 99
of the Dover book 'The Principle of Relativity.' You will find in
section 3 of that paper, Einstein's derivation of the (variable) speed
of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is,
c' = c0 ( 1 + V / c^2 )
where V is the gravitational potential relative to the point where the
speed of light c0 is measured."
http://www.mathpages.com/rr/s6-01/6-01.htm
"In geometrical units we define c_0 = 1, so Einstein's 1911 formula
can be written simply as c=1+phi. However, this formula for the speed
of light (not to mention this whole approach to gravity) turned out to
be incorrect, as Einstein realized during the years leading up to 1915
and the completion of the general theory. In fact, the general theory
of relativity doesn't give any equation for the speed of light at a
particular location, because the effect of gravity cannot be
represented by a simple scalar field of c values. Instead, the "speed
of light" at a each point depends on the direction of the light ray
through that point, as well as on the choice of coordinate systems, so
we can't generally talk about the value of c at a given point in a non-
vanishing gravitational field. However, if we consider just radial
light rays near a spherically symmetrical (and non- rotating) mass,
and if we agree to use a specific set of coordinates, namely those in
which the metric coefficients are independent of t, then we can read a
formula analogous to Einstein's 1911 formula directly from the
Schwarzschild metric. (...) In the Newtonian limit the classical
gravitational potential at a distance r from mass m is phi=-m/r, so if
we let c_r = dr/dt denote the radial speed of light in Schwarzschild
coordinates, we have c_r =1+2phi, which corresponds to Einstein's 1911
equation, except that we have a factor of 2 instead of 1 on the
potential term."
http://www.speed-light.info/speed_of_light_variable.htm
"Einstein wrote this paper in 1911 in German (download from:
http://www.physik.uni-augsburg.de/annalen/history/einstein-papers/1911_35_898-908.pdf
). It predated the full formal development of general relativity by
about four years. You can find an English translation of this paper in
the Dover book 'The Principle of Relativity' beginning on page 99; you
will find in section 3 of that paper Einstein's derivation of the
variable speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The
result is: c'=c0(1+phi/c^2) where phi is the gravitational potential
relative to the point where the speed of light co is measured......You
can find a more sophisticated derivation later by Einstein (1955) from
the full theory of general relativity in the weak field
approximation....For the 1955 results but not in coordinates see page
93, eqn (6.28): c(r)=[1+2phi(r)/c^2]c. Namely the 1955 approximation
shows a variation in km/sec twice as much as first predicted in
1911."
George Orwell explique pourquoi Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne
Klein ne répondront jamais:
http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."
Pentcho Valev
***@yahoo.com
Etienne Klein: "Le photon est un être mal poli qui ne dit bonjour à
personne, qui n'est pas couplé au champ de Higgs et qui n'a pas de
masse."
http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna38/pgs/7_8.pdf
Gilles COHEN-TANNOUDJI: "Pour rendre compatibles le principe de
relativité, selon lequel les lois de la nature s'expriment de la même
façon dans des référentiels inertiels en mouvement relatif rectiligne
et uniforme, et le principe d'invariabilité de la vitesse de la
lumière, Einstein a dû procéder à une véritable refondation de la
mécanique, remettant en cause la conception de la matière, de l'espace
et du temps. Cest maintenant l'énergie et non la masse qui joue le
rôle de caractéristique la plus fondamentale de la matière : la
lumière est une matière, mais c'est une matière qui a de l'énergie
sans avoir de masse."
http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php?class=ast&file=file_748_0_.pdf
Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir
comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister.
(...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en
attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement,
de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils
étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être
accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire
jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet
que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne
peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner
ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse."
Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne Klein, peut-être le photon dit-il
bounjour au champ de gravitation? Est-ce qu'il y a une accélération
des photons dans un champ de gravitation? Est-ce que les photons et
les boulets de canon subissent la même accélération?
http://www.aredam.net/einstein_plagiaire.pdf
pp. 33-34: "Dans un article de juin 1911, Einstein reprit les idées de
son article de 1907, qui découlaient de l'hypothèse de Planck sur la
pesanteur de l'énergie. Mais cette fois il abandonna la relativité
"habituelle", d'autant plus facilement qu'il n'en était pas l'auteur,
en renonçant explicitement au principe de la constance de la vitesse
de la lumière. Et cet abandon lui permit de calculer la courbure d'un
rayon lumineux dans un champ de gravitation, qu'il estima à 0,85 d'arc
pour un rayon rasant le soleil, en appliquant le principe de Huygens,
du mathématicien et physicien Christiaan Huygens (1629-1695), valable
dans les milieux d'indices de réfraction variables. Ce résultat avait,
en fait, déjà été établi par l'astronome allemand Soldner en 1803, en
partant de la théorie de l'émission de la lumière de Newton."
http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."
http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace."
http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]. If this were
not so, there would be no bending of light by the gravitational field
of stars....Indeed, this is exactly how Einstein did the calculation
in: 'On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light,'
Annalen der Physik, 35, 1911. which predated the full formal
development of general relativity by about four years. This paper is
widely available in English. You can find a copy beginning on page 99
of the Dover book 'The Principle of Relativity.' You will find in
section 3 of that paper, Einstein's derivation of the (variable) speed
of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is,
c' = c0 ( 1 + V / c^2 )
where V is the gravitational potential relative to the point where the
speed of light c0 is measured."
http://www.mathpages.com/rr/s6-01/6-01.htm
"In geometrical units we define c_0 = 1, so Einstein's 1911 formula
can be written simply as c=1+phi. However, this formula for the speed
of light (not to mention this whole approach to gravity) turned out to
be incorrect, as Einstein realized during the years leading up to 1915
and the completion of the general theory. In fact, the general theory
of relativity doesn't give any equation for the speed of light at a
particular location, because the effect of gravity cannot be
represented by a simple scalar field of c values. Instead, the "speed
of light" at a each point depends on the direction of the light ray
through that point, as well as on the choice of coordinate systems, so
we can't generally talk about the value of c at a given point in a non-
vanishing gravitational field. However, if we consider just radial
light rays near a spherically symmetrical (and non- rotating) mass,
and if we agree to use a specific set of coordinates, namely those in
which the metric coefficients are independent of t, then we can read a
formula analogous to Einstein's 1911 formula directly from the
Schwarzschild metric. (...) In the Newtonian limit the classical
gravitational potential at a distance r from mass m is phi=-m/r, so if
we let c_r = dr/dt denote the radial speed of light in Schwarzschild
coordinates, we have c_r =1+2phi, which corresponds to Einstein's 1911
equation, except that we have a factor of 2 instead of 1 on the
potential term."
http://www.speed-light.info/speed_of_light_variable.htm
"Einstein wrote this paper in 1911 in German (download from:
http://www.physik.uni-augsburg.de/annalen/history/einstein-papers/1911_35_898-908.pdf
). It predated the full formal development of general relativity by
about four years. You can find an English translation of this paper in
the Dover book 'The Principle of Relativity' beginning on page 99; you
will find in section 3 of that paper Einstein's derivation of the
variable speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The
result is: c'=c0(1+phi/c^2) where phi is the gravitational potential
relative to the point where the speed of light co is measured......You
can find a more sophisticated derivation later by Einstein (1955) from
the full theory of general relativity in the weak field
approximation....For the 1955 results but not in coordinates see page
93, eqn (6.28): c(r)=[1+2phi(r)/c^2]c. Namely the 1955 approximation
shows a variation in km/sec twice as much as first predicted in
1911."
George Orwell explique pourquoi Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne
Klein ne répondront jamais:
http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."
Pentcho Valev
***@yahoo.com