Post by A.J.Excusez-moi d'intervenir par curiosité...
Pas de quoi...
Post by A.J.y = f(x)
f(y) = x
donc une écriture parfaitement symétrique en x et en y.
g(x,y) = 0
g(x,y) = = g(y,x) (avec = = pour l'identité)
beaucoup de fonctions g conviennent, par exemple un polynome en x et y, avec
les mêmes coefficients, au signe près, pour des monomes symétriques en x et
y.
Avec la condition : f(1) = 1, c.à.d. : g(1,1) = 0, le polynome avec des
monomes de coefficients de signes opposés conviendrait.
En quoi ce problème que je me pose diffère-t-il du problème donné ?
Le problème, c'est que ce g(x,y) est assez arbitraire... Par
exemple, si f est continue, il n'est pas clair qu'on puisse choisir g
continu...
Et surtout, a priori, étant donné une telle fonction symétrique, il
n'existe pas forcément une fonction f correspondante; pour ça il fait
faire de fortes hypothèses sur g, et en aucun cas ça ne simplifie le
problème, bien au contraire.
La condition à faire sur g est que, étant donné x, il existe exactement un
seul y tel que g(x,y)=0. Si on se donne un polynôme symétrique, ce n'est
pas très explicite, comme condition, et en général, elle n'est pas
vérifiée.
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Yves