Discussion:
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
(trop ancien pour répondre)
JC_Lavau
2024-05-02 17:24:01 UTC
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Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?

A l'époque du premier calcul de cette géométrie, je m'étais contenté
d'additionner le champ d'un dipôle émetteur dans le vide vers l'infini,
et du dipôle absorbeur recevant de l'infini. Or les graphiques
résultants ne montraient rien qui ressemblât à un mince canal. Rien ne
rendait compte du nécessaire accord de phase à l'arrivée, exigé par le
principe de Fermat. Ce mode de calcul violait aussi la directivité
inhérente à chaque photon, démontrée en 1916 par A. Einstein, et
prouvée à nouveau dans chaque dématérialisation de positron,
exploitée dans chaque PET scan.

J'avais juste posé tout cela sur le côté, pour me rabattre en urgence
sur la simplification à courbure constante : l'arc de cercle. Malgré ses
imperfections évidentes.
Par héritage, le défaut initial était le présupposé implicite des
absorbeurs en nombre illimité à l'infini, ou « malédiction des
astronomes ». Cette hypothèse clandestine et hégémonique est
enseignée dans tous les manuels de MQ, et dans tous les campus...

Ce défaut initial est-il irrémédiable ?

J'ai mis un temps indu à m'en apercevoir : oui, il fallait repartir de
zéro. Personne n'a encore traité la question du couple
émetteur-absorbeur, ou mieux du triplet émetteur-espace-absorbeur.
De surcroît, on n'a pas de théorie correcte du champ proche, autour de
l'atome émetteur ou de l'atome absorbeur, pour rester dans les cas
historiques de la spectrographie.

Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des
apex ?
Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm.
Or le diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un ratio
de 1 à 9 000 environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à la
longueur d'onde du photon transmis.
Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela implique
quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de noyau entre
l'état final et l'état initial pour émettre tout un photon, ou le
recevoir tout entier.

On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et comparer
au diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour la raie
d'absorption sélective du monoxyde de carbone à 65,05 Terahertz :
4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 000, à la précision près de ce diamètre de
la molécule CO.
On retombe bien sur le même ordre de grandeur du ratio [longueur d'onde /
diamètre d'apex].

De façon toute empirique, on peut tenter le modèle d'une courbure de
chaque rayon partiel proportionnelle à la somme de deux fractions
rationnelles :
courbure = α . (1/r_e + 1/r_a)
où r_e et r_a sont les distances respectives à l'émetteur et à
l'absorbeur.

Et on élimine (ou on croit éliminer) les singularités en champ trop
proche en ne pénétrant jamais dans la boule ayant le diamètre de
l'atome émetteur ou absorbeur (atome ou molécule ou noyau). Il reste à
vérifier que ces diamètres de boule suffisent.
Il reste à calculer les longueurs répondant au critère de
Fermat-Fresnel.

Une autre approche, plus similaire aux calculs de faisceaux hyperboliques
issus d'un laser, serait de scruter la courbure des surfaces isophases.
Leur borne supérieure correspond à la forme grossière de l'atome ou de
la molécule terminale.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
JC_Lavau
2024-05-14 09:31:28 UTC
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Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
A l'époque du premier calcul de cette géométrie, je m'étais contenté
d'additionner le champ d'un dipôle émetteur dans le vide vers l'infini, et du
dipôle absorbeur recevant de l'infini. Or les graphiques résultants ne
montraient rien qui ressemblât à un mince canal. Rien ne rendait compte du
nécessaire accord de phase à l'arrivée, exigé par le principe de Fermat. Ce
mode de calcul violait aussi la directivité inhérente à chaque photon,
démontrée en 1916 par A. Einstein, et prouvée à nouveau dans chaque
dématérialisation de positron, exploitée dans chaque PET scan.
J'avais juste posé tout cela sur le côté, pour me rabattre en urgence sur la
simplification à courbure constante : l'arc de cercle. Malgré ses imperfections
évidentes.
Par héritage, le défaut initial était le présupposé implicite des
absorbeurs en nombre illimité à l'infini, ou « malédiction des astronomes ».
Cette hypothèse clandestine et hégémonique est enseignée dans tous les manuels
de MQ, et dans tous les campus...
Ce défaut initial est-il irrémédiable ?
J'ai mis un temps indu à m'en apercevoir : oui, il fallait repartir de zéro.
Personne n'a encore traité la question du couple émetteur-absorbeur, ou mieux du
triplet émetteur-espace-absorbeur.
De surcroît, on n'a pas de théorie correcte du champ proche, autour de l'atome
émetteur ou de l'atome absorbeur, pour rester dans les cas historiques de la
spectrographie.
Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des apex ?
Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm.
Or le diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un ratio de 1
à 9 000 environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à la longueur d'onde
du photon transmis.
Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela implique
quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de noyau entre l'état
final et l'état initial pour émettre tout un photon, ou le recevoir tout entier.
On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et comparer au
diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour la raie d'absorption
4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 000, à la précision près de ce diamètre de la
molécule CO.
On retombe bien sur le même ordre de grandeur du ratio [longueur d'onde /
diamètre d'apex].
De façon toute empirique, on peut tenter le modèle d'une courbure de chaque
courbure = α . (1/r_e + 1/r_a)
où r_e et r_a sont les distances respectives à l'émetteur et à l'absorbeur.
Et on élimine (ou on croit éliminer) les singularités en champ trop proche en
ne pénétrant jamais dans la boule ayant le diamètre de l'atome émetteur ou
absorbeur (atome ou molécule ou noyau). Il reste à vérifier que ces diamètres
de boule suffisent.
Il reste à calculer les longueurs répondant au critère de Fermat-Fresnel.
Une autre approche, plus similaire aux calculs de faisceaux hyperboliques issus
d'un laser, serait de scruter la courbure des surfaces isophases. Leur borne
supérieure correspond à la forme grossière de l'atome ou de la molécule
terminale.
Du 2 mai au 14 mai, il est clair qu'il n'y a plus de physiciens sur
fr.sci.physique.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
Richard Hachel
2024-05-14 14:09:55 UTC
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Post by JC_Lavau
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
A l'époque du premier calcul de cette géométrie, je m'étais contenté
d'additionner le champ d'un dipôle émetteur dans le vide vers l'infini, et du
dipôle absorbeur recevant de l'infini. Or les graphiques résultants ne montraient
rien qui ressemblât à un mince canal. Rien ne rendait compte du nécessaire
accord de phase à l'arrivée, exigé par le principe de Fermat. Ce mode de calcul
violait aussi la directivité inhérente à chaque photon, démontrée en 1916 par
A. Einstein, et prouvée à nouveau dans chaque dématérialisation de positron,
exploitée dans chaque PET scan.
J'avais juste posé tout cela sur le côté, pour me rabattre en urgence sur la
simplification à courbure constante : l'arc de cercle. Malgré ses imperfections
évidentes.
Par héritage, le défaut initial était le présupposé implicite des
absorbeurs en nombre illimité à l'infini, ou « malédiction des astronomes ».
Cette hypothèse clandestine et hégémonique est enseignée dans tous les manuels
de MQ, et dans tous les campus...
Ce défaut initial est-il irrémédiable ?
J'ai mis un temps indu à m'en apercevoir : oui, il fallait repartir de zéro.
Personne n'a encore traité la question du couple émetteur-absorbeur, ou mieux du
triplet émetteur-espace-absorbeur.
De surcroît, on n'a pas de théorie correcte du champ proche, autour de l'atome
émetteur ou de l'atome absorbeur, pour rester dans les cas historiques de la
spectrographie.
Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des apex ?
Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm.
Or le diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un ratio de 1
à 9 000 environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à la longueur d'onde
du photon transmis.
Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela implique
quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de noyau entre l'état
final et l'état initial pour émettre tout un photon, ou le recevoir tout entier.
On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et comparer au
diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour la raie d'absorption
4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 000, à la précision près de ce diamètre de la
molécule CO.
On retombe bien sur le même ordre de grandeur du ratio [longueur d'onde /
diamètre d'apex].
De façon toute empirique, on peut tenter le modèle d'une courbure de chaque
courbure = α . (1/r_e + 1/r_a)
où r_e et r_a sont les distances respectives à l'émetteur et à l'absorbeur.
Et on élimine (ou on croit éliminer) les singularités en champ trop proche en
ne pénétrant jamais dans la boule ayant le diamètre de l'atome émetteur ou
absorbeur (atome ou molécule ou noyau). Il reste à vérifier que ces diamètres
de boule suffisent.
Il reste à calculer les longueurs répondant au critère de Fermat-Fresnel.
Une autre approche, plus similaire aux calculs de faisceaux hyperboliques issus
d'un laser, serait de scruter la courbure des surfaces isophases. Leur borne
supérieure correspond à la forme grossière de l'atome ou de la molécule
terminale.
Du 2 mai au 14 mai, il est clair qu'il n'y a plus de physiciens sur
fr.sci.physique.
D'un autre côté, il n'y en a jamais eu beaucoup...

Peut-être deux ou trois.

La plupart des autres formant un mélange d'arrogance, de crétinisme et
de haine.

Maintenant, je vais te dire un truc : ailleurs de usenet, l'herbe n'est
pas plus verte.

R.H.
Python
2024-05-14 16:31:00 UTC
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Post by JC_Lavau
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
A l'époque du premier calcul de cette géométrie, je m'étais contenté
d'additionner le champ d'un dipôle émetteur dans le vide vers
l'infini, et du dipôle absorbeur recevant de l'infini. Or les
graphiques résultants ne montraient rien qui ressemblât à un mince
canal. Rien ne rendait compte du nécessaire accord de phase à
l'arrivée, exigé par le principe de Fermat. Ce mode de calcul violait
aussi la directivité inhérente à chaque photon, démontrée en 1916 par
A. Einstein, et prouvée à nouveau dans chaque dématérialisation de
positron, exploitée dans chaque PET scan.
J'avais juste posé tout cela sur le côté, pour me rabattre en urgence
sur la simplification à courbure constante : l'arc de cercle. Malgré
ses imperfections évidentes.
Par héritage, le défaut initial était le présupposé implicite des
absorbeurs en nombre illimité à l'infini, ou « malédiction des
astronomes ». Cette hypothèse clandestine et hégémonique est enseignée
dans tous les manuels de MQ, et dans tous les campus...
Ce défaut initial est-il irrémédiable ?
J'ai mis un temps indu à m'en apercevoir : oui, il fallait repartir de
zéro. Personne n'a encore traité la question du couple
émetteur-absorbeur, ou mieux du triplet émetteur-espace-absorbeur.
De surcroît, on n'a pas de théorie correcte du champ proche, autour de
l'atome émetteur ou de l'atome absorbeur, pour rester dans les cas
historiques de la spectrographie.
Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des apex ?
Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm.
Or le diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un
ratio de 1 à 9 000 environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à
la longueur d'onde du photon transmis.
Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela
implique quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de
noyau entre l'état final et l'état initial pour émettre tout un
photon, ou le recevoir tout entier.
On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et
comparer au diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour
4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 000, à la précision près de ce diamètre de la
molécule CO.
On retombe bien sur le même ordre de grandeur du ratio [longueur
d'onde / diamètre d'apex].
De façon toute empirique, on peut tenter le modèle d'une courbure de
chaque rayon partiel proportionnelle à la somme de deux fractions
courbure = α . (1/r_e + 1/r_a)
où r_e et r_a sont les distances respectives à l'émetteur et à l'absorbeur.
Et on élimine (ou on croit éliminer) les singularités en champ trop
proche en ne pénétrant jamais dans la boule ayant le diamètre de
l'atome émetteur ou absorbeur (atome ou molécule ou noyau). Il reste à
vérifier que ces diamètres de boule suffisent.
Il reste à calculer les longueurs répondant au critère de Fermat-Fresnel.
Une autre approche, plus similaire aux calculs de faisceaux
hyperboliques issus d'un laser, serait de scruter la courbure des
surfaces isophases. Leur borne supérieure correspond à la forme
grossière de l'atome ou de la molécule terminale.
Du 2 mai au 14 mai, il est clair qu'il n'y a plus de physiciens sur
fr.sci.physique.
Ça fait vingt ans que tu bassines tout le monde avec tes "fuseaux de
Fermat".

Vingt ans que l'on ne trouve strictement aucune référence du terme
dans la littérature.

Vingt ans que tu agonis d'insultes quiconque te demande ne serait-ce
qu'une vague définition.

Vingt ans que tu trimbales le même schéma pourri de pdf en pdf, et
jamais ni définition, ni calcul quantitatif.

Et tu viens confirmer, dans ton message, que ça ne te mène à rien.

Tu t'attends à quoi comme réaction ? Sérieusement...
JC_Lavau
2024-05-14 20:49:01 UTC
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Post by Python
dans la littérature.
Prière d'être clair. De quoi s'agit-il ?
Aucune mention dans la littérature scientifique : articles,
livres, traités, conférences.
Seules mentions dans des textes dont tu es l'auteur.
Jusqu'à sa mort en 1865, Semmelweis resta le seul à décrire les règles
de l'asepsie.
Aucune définition,
ni même semblant de définition de ta part.
Ta mémoire est volontairement très courte.
Fermat, Young, Fresnel, Oui, ou non ?

La lumière polarisée plane existe, sur des kilomètres, voire des
distances astronomiques, oui, ou non ?

La double réfraction dans les cristaux non isotropes, elle existe, ou pas
?

La précédente définition du mètre, et l'actuelle définition de la
seconde existent ou non ? Et expérimentalement, ça fonctionne, ou pas ?

Les couches anti-reflets, elles fonctionnent, ou pas ? Les couleurs
interférentielles, elles existent, ou pas ? Sans parler des effets fins,
comme Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en
polarisation circulaire, etc.

Donc la mythologie du "tantôt corpuscule tantôt onde tout en restant
corpuscule", au pouvoir depuis nonante-six ans et demi, ne vaut pas plus
qu'un trou de pisse dans la neige. Il n'y a jamais de corpuscules ni de
"aspect corpusculaires". Seuls existent les ondes individuelles et les
foules d'ondes individuelles.

Il ne reste que Fermat et Fresnel pour faire arriver en phase à
destination, toute petite destination, un photon qui durant son trajet a
été large et long. De combien, en conditions optiques ?

C'est l'enveloppe inévitable de ce trajet de transfert qui restait à
nommer : canal-fuseau de Fermat. Cette géométrie est distincte des
tâtonnements qui ont abouti à une poignée de mains ; ce qui permet les
interférences, par plusieurs canaux-fuseaux simultanés résultant de la
même transaction.

Cela fait plus de vingt ans que je l'explique ici. Il n'est pire sourd que
celui qui ne veut entendre.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
JC_Lavau
2024-05-14 20:51:55 UTC
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Post by Python
dans la littérature.
Prière d'être clair. De quoi s'agit-il ?
Aucune mention dans la littérature scientifique : articles,
livres, traités, conférences.
Seules mentions dans des textes dont tu es l'auteur.
Jusqu'à sa mort en 1865, Semmelweis resta le seul à décrire les règles
de l'asepsie.
Aucune définition,
ni même semblant de définition de ta part.
Ta mémoire est volontairement très courte.
Fermat, Young, Fresnel, Oui, ou non ?

La lumière polarisée plane existe, sur des kilomètres, voire des
distances astronomiques, oui, ou non ?

La double réfraction dans les cristaux non isotropes, elle existe, ou pas
?

La précédente définition du mètre, et l'actuelle définition de la
seconde existent ou non ? Et expérimentalement, ça fonctionne, ou pas ?

Les couches anti-reflets, elles fonctionnent, ou pas ? Les couleurs
interférentielles, elles existent, ou pas ? Sans parler des effets fins,
comme Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en
polarisation circulaire, etc.

Donc la mythologie du "tantôt corpuscule tantôt onde tout en restant
corpuscule", au pouvoir depuis nonante-six ans et demi, ne vaut pas plus
qu'un trou de pisse dans la neige. Il n'y a jamais de corpuscules ni de
"aspect corpusculaires". Seuls existent les ondes individuelles et les
foules d'ondes individuelles.

Il ne reste que Fermat et Fresnel pour faire arriver en phase à
destination, toute petite destination, un photon qui durant son trajet a
été large et long. Large de combien, en conditions optiques ?

C'est l'enveloppe inévitable de ce trajet de transfert qui restait à
nommer : canal-fuseau de Fermat. Cette géométrie est distincte des
tâtonnements qui ont abouti à une poignée de mains ; ce qui permet les
interférences, par plusieurs canaux-fuseaux simultanés résultant de la
même transaction.

Cela fait plus de vingt ans que je l'explique ici. Il n'est pire sourd que
celui qui ne veut entendre.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
Python
2024-05-14 21:08:15 UTC
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Post by JC_Lavau
Post by Python
dans la littérature.
Prière d'être clair. De quoi s'agit-il ?
Aucune mention dans la littérature scientifique : articles,
livres, traités, conférences.
Seules mentions dans des textes dont tu es l'auteur.
Jusqu'à sa mort en 1865, Semmelweis resta le seul à décrire les règles
de l'asepsie.
Sophisme habituel... Pourquoi pas Galilée tant que tu y es ?
Post by JC_Lavau
Aucune définition,
ni même semblant de définition de ta part.
Ta mémoire est volontairement très courte.
Fermat, Young, Fresnel, Oui, ou non ?
La lumière polarisée plane existe, sur des kilomètres, voire des
distances astronomiques, oui, ou non ?
La double réfraction dans les cristaux non isotropes, elle existe, ou pas ?
La précédente définition du mètre, et l'actuelle définition de la
seconde existent ou non ? Et expérimentalement, ça fonctionne, ou pas ?
Les couches anti-reflets, elles fonctionnent, ou pas ? Les couleurs
interférentielles, elles existent, ou pas ? Sans parler des effets fins,
comme Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en
polarisation circulaire, etc.
Donc la mythologie du "tantôt corpuscule tantôt onde tout en restant
corpuscule", au pouvoir depuis nonante-six ans et demi, ne vaut pas plus
qu'un trou de pisse dans la neige. Il n'y a jamais de corpuscules ni de
"aspect corpusculaires". Seuls existent les ondes individuelles et les
foules d'ondes individuelles.
Il ne reste que Fermat et Fresnel pour faire arriver en phase à
destination, toute petite destination, un photon qui durant son trajet a
été large et long. Large de combien, en conditions optiques ?
C'est l'enveloppe inévitable de ce trajet de transfert qui restait à
nommer : canal-fuseau de Fermat. Cette géométrie est distincte des
tâtonnements qui ont abouti à une poignée de mains ; ce qui permet les
interférences, par plusieurs canaux-fuseaux simultanés résultant de la
même transaction.
Cela fait plus de vingt ans que je l'explique ici. Il n'est pire sourd
que celui qui ne veut entendre.
*yawn* Toujours le même ramassis de sophismes fait de bric et de broc,
en partie la stratégie de l'homme de paille concernant ce que dit
la physique quantique.

Et l'aveu que malgré tout tes efforts tu n'es arrivé à rien.

Tu veux quoi ? De la pommade ?

(fup f.s.p ! arrête de polluer f.s.m)
JC_Lavau
2024-05-14 21:28:55 UTC
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Post by Python
Post by JC_Lavau
Post by Python
dans la littérature.
Prière d'être clair. De quoi s'agit-il ?
Aucune mention dans la littérature scientifique : articles,
livres, traités, conférences.
Seules mentions dans des textes dont tu es l'auteur.
Jusqu'à sa mort en 1865, Semmelweis resta le seul à décrire les règles
de l'asepsie.
Sophisme habituel... Pourquoi pas Galilée tant que tu y es ?
Post by JC_Lavau
Aucune définition,
ni même semblant de définition de ta part.
Ta mémoire est volontairement très courte.
Fermat, Young, Fresnel, Oui, ou non ?
La lumière polarisée plane existe, sur des kilomètres, voire des
distances astronomiques, oui, ou non ?
La double réfraction dans les cristaux non isotropes, elle existe, ou pas ?
La précédente définition du mètre, et l'actuelle définition de la
seconde existent ou non ? Et expérimentalement, ça fonctionne, ou pas ?
Les couches anti-reflets, elles fonctionnent, ou pas ? Les couleurs
interférentielles, elles existent, ou pas ? Sans parler des effets fins,
comme Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en
polarisation circulaire, etc.
Donc la mythologie du "tantôt corpuscule tantôt onde tout en restant
corpuscule", au pouvoir depuis nonante-six ans et demi, ne vaut pas plus
qu'un trou de pisse dans la neige. Il n'y a jamais de corpuscules ni de
"aspect corpusculaires". Seuls existent les ondes individuelles et les
foules d'ondes individuelles.
Il ne reste que Fermat et Fresnel pour faire arriver en phase à
destination, toute petite destination, un photon qui durant son trajet a
été large et long. Large de combien, en conditions optiques ?
C'est l'enveloppe inévitable de ce trajet de transfert qui restait à
nommer : canal-fuseau de Fermat. Cette géométrie est distincte des
tâtonnements qui ont abouti à une poignée de mains ; ce qui permet les
interférences, par plusieurs canaux-fuseaux simultanés résultant de la
même transaction.
Cela fait plus de vingt ans que je l'explique ici. Il n'est pire sourd
que celui qui ne veut entendre.
*yawn* Toujours le même ramassis de sophismes fait de bric et de broc,
en partie la stratégie de l'homme de paille concernant ce que dit
la physique quantique.
Et l'aveu que malgré tout tes efforts tu n'es arrivé à rien.
Tu veux quoi ? De la pommade ?
(fup f.s.p ! arrête de polluer f.s.m)
Confirmation : Si quelque éventuel physicien subsiste sur fsp, à coup
sûr ce ne sera pas toi, tu n'as jamais été physicien. Tu n'as aucune
idée de ce que pourrait être cette discipline, dont tu comprends
rarement un mot.
Tu as juste un culot monstre à l'appui de ta malveillance pathologique.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
Richard Hachel
2024-05-14 21:30:51 UTC
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Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
C'est quoi un fuseau de Fermat?

R.H.
JC_Lavau
2024-05-15 12:42:09 UTC
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Post by Richard Hachel
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
C'est quoi un fuseau de Fermat?
R.H.
Relire 14/05/2024 à 21:51
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
Richard Hachel
2024-05-15 12:55:16 UTC
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Post by JC_Lavau
Post by Richard Hachel
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
C'est quoi un fuseau de Fermat?
R.H.
Relire 14/05/2024 à 21:51
22:51 plutôt.

Je précise ma pensée sur le sujet. La photon n'existe pas. Ce n'est ni
une particule, ni une onde.
Il n'y a rien qui se déplace "de là à là".

Il s'agit d'un transfert instantané d'énergie, dans le référentiel du
récepteur.

"Dans le phénomène photonique, c'est le récepteur qui est la source".
Richard Hachel. Conférence de Chicago, mars 1998.

Le photon prend donc l'aspect d'un corpuscule ou d'une onde selon la
façon dont on le regarde, mais il n'est ni l'un ni l'autre. Quant à
l'aspect ondulatoire, ce n'est pas un aspect propre au photon. C'est juste
un phénomène du à l'anisochronie spatiale présente en tout bon
référentiel qui se respecte, et qui donne de surcroit l'impression que
la lumière se déplace à c.

Il est donc difficile, pour moi, de visualiser des faisceaux de Fermat là
où n'existe que le pur néant.

R.H.
JC_Lavau
2024-05-15 13:10:37 UTC
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Post by Richard Hachel
Post by JC_Lavau
Post by Richard Hachel
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
C'est quoi un fuseau de Fermat?
R.H.
Relire 14/05/2024 à 21:51
22:51 plutôt.
Je précise ma pensée sur le sujet. La photon n'existe pas. Ce n'est ni une
particule, ni une onde.
Il n'y a rien qui se déplace "de là à là".
Il s'agit d'un transfert instantané d'énergie, dans le référentiel du
récepteur.
"Dans le phénomène photonique, c'est le récepteur qui est la source".
Richard Hachel. Conférence de Chicago, mars 1998.
Le photon prend donc l'aspect d'un corpuscule ou d'une onde selon la façon dont
on le regarde, mais il n'est ni l'un ni l'autre. Quant à l'aspect ondulatoire, ce
n'est pas un aspect propre au photon. C'est juste un phénomène du à
l'anisochronie spatiale présente en tout bon référentiel qui se respecte, et
qui donne de surcroit l'impression que la lumière se déplace à c.
Il est donc difficile, pour moi, de visualiser des faisceaux de Fermat là où
n'existe que le pur néant.
R.H.
Tu as tout faux. Tu n'as jamais pratiqué l'optique.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
Richard Hachel
2024-05-15 13:31:02 UTC
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Post by JC_Lavau
Post by Richard Hachel
Post by JC_Lavau
Post by Richard Hachel
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
C'est quoi un fuseau de Fermat?
R.H.
Relire 14/05/2024 à 21:51
22:51 plutôt.
Je précise ma pensée sur le sujet. La photon n'existe pas. Ce n'est ni une
particule, ni une onde.
Il n'y a rien qui se déplace "de là à là".
Il s'agit d'un transfert instantané d'énergie, dans le référentiel du
récepteur.
"Dans le phénomène photonique, c'est le récepteur qui est la source".
Richard Hachel. Conférence de Chicago, mars 1998.
Le photon prend donc l'aspect d'un corpuscule ou d'une onde selon la façon dont
on le regarde, mais il n'est ni l'un ni l'autre. Quant à l'aspect ondulatoire, ce
n'est pas un aspect propre au photon. C'est juste un phénomène du à
l'anisochronie spatiale présente en tout bon référentiel qui se respecte, et qui
donne de surcroit l'impression que la lumière se déplace à c.
Il est donc difficile, pour moi, de visualiser des faisceaux de Fermat là où
n'existe que le pur néant.
R.H.
Tu as tout faux. Tu n'as jamais pratiqué l'optique.
Pour me montrer que j'ai tout faux, il faut me donner des preuves, et,
malheureusement, comme dans tout,
on ne peut pas me donner de preuves.

C'est un peu comme dans le cas Jean-Pierre Messager qui cherche à montrer
que mes équations sont incohérentes, qui tourne en rond avec, et s'y
noie.

J'attends toujours qu'il m'explique comment il fait pour contredire mon
Langevin expliqué en vitesses apparentes, et la profonde logique de
l'équation D'=D.sqrt(1-Vo²/c²)/(1+cosµ.Vo/c).

Parmi tant d'autres choses où il se noie.

J'attends toujours qu'il contredise ce que j'ai dit des temps propres dans
les référentiels accélérés.

L'offre est aussi faite à tous les physiciens relativistes que je trouve
bien silencieux sur ces sujets.

J'en arrive à me demander si les physiciens ne sont pas, en quelque
sorte, une secte de témoins de Jéhovah, sûrs de leur coup, mais qui
placé devant un théologien de la classe d'Hachel, ne font pas plus le
poids que les plus grands rabbins, imams, prêtres et curés de toutes
catégories.

Maintenant, je pose une question : que se passerait-il si j'enfermais un
émetteur de photons dans une
sorte de cube composé de cinq faces en verre polarisant, ne laissant
qu'une seule face libre.

Tous les photons émis et passant pas les cinq faces, seraient polarisés.


Mais la sixième face, laissée à l'air libre, laisserait passer
librement les photons.

Qu'en serait-il des photons recueillis?

C'est une expérience qui m'a toujours interpelé, car je me demande si
les photons recueillis de ce côté là ne serait pas "appariés" en grand
nombre.

Ce qui prouverait instantanément tout ce que je dis depuis des années,
et en particulier la nature du rayonnement électromagnétique comme
simple transfert instantané d'énergie dans le référentiel du
récepteur.

Sans rien "entre là et là".

R.H.
JC_Lavau
2024-05-16 11:51:37 UTC
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Formulé différemment : existe-t-il une transformation qui change le
récepteur infini à l'infini, en un absorbeur quasi-ponctuel à quelque
distance, et qui conserve la perpendicularité des fronts d'onde avec le
vecteur de Poynting ?
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
A l'époque du premier calcul de cette géométrie, je m'étais contenté
d'additionner le champ d'un dipôle émetteur dans le vide vers l'infini, et du
dipôle absorbeur recevant de l'infini. Or les graphiques résultants ne
montraient rien qui ressemblât à un mince canal. Rien ne rendait compte du
nécessaire accord de phase à l'arrivée, exigé par le principe de Fermat. Ce
mode de calcul violait aussi la directivité inhérente à chaque photon,
démontrée en 1916 par A. Einstein, et prouvée à nouveau dans chaque
dématérialisation de positron, exploitée dans chaque PET scan.
J'avais juste posé tout cela sur le côté, pour me rabattre en urgence sur la
simplification à courbure constante : l'arc de cercle. Malgré ses imperfections
évidentes.
Par héritage, le défaut initial était le présupposé implicite des
absorbeurs en nombre illimité à l'infini, ou « malédiction des astronomes ».
Cette hypothèse clandestine et hégémonique est enseignée dans tous les manuels
de MQ, et dans tous les campus...
Ce défaut initial est-il irrémédiable ?
J'ai mis un temps indu à m'en apercevoir : oui, il fallait repartir de zéro.
Personne n'a encore traité la question du couple émetteur-absorbeur, ou mieux du
triplet émetteur-espace-absorbeur.
De surcroît, on n'a pas de théorie correcte du champ proche, autour de l'atome
émetteur ou de l'atome absorbeur, pour rester dans les cas historiques de la
spectrographie.
Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des apex ?
Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm.
Or le diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un ratio de 1
à 9 000 environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à la longueur d'onde
du photon transmis.
Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela implique
quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de noyau entre l'état
final et l'état initial pour émettre tout un photon, ou le recevoir tout entier.
On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et comparer au
diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour la raie d'absorption
4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 000, à la précision près de ce diamètre de la
molécule CO.
On retombe bien sur le même ordre de grandeur du ratio [longueur d'onde /
diamètre d'apex].
De façon toute empirique, on peut tenter le modèle d'une courbure de chaque
courbure = α . (1/r_e + 1/r_a)
où r_e et r_a sont les distances respectives à l'émetteur et à l'absorbeur.
Et on élimine (ou on croit éliminer) les singularités en champ trop proche en
ne pénétrant jamais dans la boule ayant le diamètre de l'atome émetteur ou
absorbeur (atome ou molécule ou noyau). Il reste à vérifier que ces diamètres
de boule suffisent.
Il reste à calculer les longueurs répondant au critère de Fermat-Fresnel.
Une autre approche, plus similaire aux calculs de faisceaux hyperboliques issus
d'un laser, serait de scruter la courbure des surfaces isophases. Leur borne
supérieure correspond à la forme grossière de l'atome ou de la molécule
terminale.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
JC_Lavau
2024-05-20 10:29:57 UTC
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Formulé différemment : existe-t-il une transformation qui change le récepteur
infini à l'infini, en un absorbeur quasi-ponctuel à quelque distance, et qui
conserve la perpendicularité des fronts d'onde avec le vecteur de Poynting ?
Toute la difficulté réside dans le "quasi". Alors qu'en ponctuel tout ce
qu'on va trouver est le segment de droite joignant l'émetteur à
l'absorbeur.

D'où l'intérêt de mieux comparer les diamètres des apex aux longueurs
d'onde dans des cas réels. On trouve des ordres de grandeur comparables
dans le cas des raies K_α des éléments lourds.
Post by JC_Lavau
Le calcul de la géométrie d'un canal-fuseau de Fermat existe-t-il ?
A l'époque du premier calcul de cette géométrie, je m'étais contenté
d'additionner le champ d'un dipôle émetteur dans le vide vers l'infini, et du
dipôle absorbeur recevant de l'infini. Or les graphiques résultants ne montraient
rien qui ressemblât à un mince canal. Rien ne rendait compte du nécessaire
accord de phase à l'arrivée, exigé par le principe de Fermat. Ce mode de calcul
violait aussi la directivité inhérente à chaque photon, démontrée en 1916 par
A. Einstein, et prouvée à nouveau dans chaque dématérialisation de positron,
exploitée dans chaque PET scan.
J'avais juste posé tout cela sur le côté, pour me rabattre en urgence sur la
simplification à courbure constante : l'arc de cercle. Malgré ses imperfections
évidentes.
Par héritage, le défaut initial était le présupposé implicite des
absorbeurs en nombre illimité à l'infini, ou « malédiction des astronomes ».
Cette hypothèse clandestine et hégémonique est enseignée dans tous les manuels
de MQ, et dans tous les campus...
Ce défaut initial est-il irrémédiable ?
J'ai mis un temps indu à m'en apercevoir : oui, il fallait repartir de zéro.
Personne n'a encore traité la question du couple émetteur-absorbeur, ou mieux du
triplet émetteur-espace-absorbeur.
De surcroît, on n'a pas de théorie correcte du champ proche, autour de l'atome
émetteur ou de l'atome absorbeur, pour rester dans les cas historiques de la
spectrographie.
Ordres de grandeurs relatifs des longueurs d'ondes et des diamètres des apex ?
Cas du rayonnement Mössbauer du fer 57 : λ = 86,1 pm = 86 100 fm.
Or le diamètre connu de ce noyau est de l'ordre de 10 fm. D'où un ratio de 1
à 9 000 environ du diamètre d'apex émetteur ou absorbeur à la longueur d'onde
du photon transmis.
Or vu la définition ultra-fine en fréquence de ce photon, cela implique
quelques dix milliards à cent milliards d'oscillations de noyau entre l'état
final et l'état initial pour émettre tout un photon, ou le recevoir tout entier.
On peut recommencer le calcul pour telle raie jaune du sodium, et comparer au
diamètre connu du sodium dans les états concernés, ou pour la raie d'absorption
4,608 µm / 0,47 nm ≈ 10 000, à la précision près de ce diamètre de la
molécule CO.
On retombe bien sur le même ordre de grandeur du ratio [longueur d'onde /
diamètre d'apex].
De façon toute empirique, on peut tenter le modèle d'une courbure de chaque
courbure = α . (1/r_e + 1/r_a)
où r_e et r_a sont les distances respectives à l'émetteur et à l'absorbeur.
Et on élimine (ou on croit éliminer) les singularités en champ trop proche en
ne pénétrant jamais dans la boule ayant le diamètre de l'atome émetteur ou
absorbeur (atome ou molécule ou noyau). Il reste à vérifier que ces diamètres
de boule suffisent.
Il reste à calculer les longueurs répondant au critère de Fermat-Fresnel.
Une autre approche, plus similaire aux calculs de faisceaux hyperboliques issus
d'un laser, serait de scruter la courbure des surfaces isophases. Leur borne
supérieure correspond à la forme grossière de l'atome ou de la molécule
terminale.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
Olivier Miakinen
2024-05-20 17:04:23 UTC
Permalink
[crosspost conservé, suivi positionné]
Formulé différemment : existe-t-il une transformation qui change le récepteur
infini à l'infini, en un absorbeur quasi-ponctuel à quelque distance, et qui
conserve la perpendicularité des fronts d'onde avec le vecteur de Poynting ?
En mathématiques le terme « transformation » est bien connu, ainsi que quelques
autres comme « vecteur », mais à moins que tu ne définisses le sens mathématique
de « récepteur », « absorbeur », « quasi » (dans « quasi-ponctuel »), et même
« Poynting », j'ai bien l'impression que toute cette discussion est hors sujet
dans fr.sci.maths.
[...] On trouve des ordres de grandeur comparables
dans le cas des raies K_α des éléments lourds.
Idem.

Je place le suivi vers fr.sci.physique. Si jamais tu as réellement une question
mathématique, alors merci de préciser tous les termes au moment de poser ta
question.
[plusieurs dizaines de lignes supplémentaires citées]
<http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>, merci.
--
Olivier Miakinen
efji
2024-05-20 17:49:30 UTC
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Post by Olivier Miakinen
[crosspost conservé, suivi positionné]
Formulé différemment : existe-t-il une transformation qui change le récepteur
infini à l'infini, en un absorbeur quasi-ponctuel à quelque distance, et qui
conserve la perpendicularité des fronts d'onde avec le vecteur de Poynting ?
En mathématiques le terme « transformation » est bien connu, ainsi que quelques
autres comme « vecteur », mais à moins que tu ne définisses le sens mathématique
de « récepteur », « absorbeur », « quasi » (dans « quasi-ponctuel »), et même
« Poynting », j'ai bien l'impression que toute cette discussion est hors sujet
dans fr.sci.maths.
En revanche la "conversation" des 2 relou antisémites,
apollo-sceptiques, antivax etc. et du relou avec lui même, a toute sa
place dans fr.sci.psychiatrie
--
F.J.
JC_Lavau
2024-05-21 09:13:42 UTC
Permalink
Post by Olivier Miakinen
[crosspost conservé, suivi positionné]
Formulé différemment : existe-t-il une transformation qui change le récepteur
infini à l'infini, en un absorbeur quasi-ponctuel à quelque distance, et qui
conserve la perpendicularité des fronts d'onde avec le vecteur de Poynting ?
Négatif : cette transformation n'existe pas. Le problème est original.
Post by Olivier Miakinen
En mathématiques le terme « transformation » est bien connu, ainsi que quelques
autres comme « vecteur », mais à moins que tu ne définisses le sens mathématique
de « récepteur », « absorbeur », « quasi » (dans « quasi-ponctuel »), et même
« Poynting », j'ai bien l'impression que toute cette discussion est hors sujet
dans fr.sci.maths.
Il y a fort longtemps, en Maths 1, on nous avait inculqué une définition
des espaces compacts que je n'ai jamais comprise, ni même retenue. Du
genre "De tout recouvrement par une famille d'ouverts, on peut extraire un
sous-recouvrement fini".

L'axiomatique, jamais nos élèves n'ont fonctionné ainsi. Echec
sanglant.
Jamais un trouveur, qu'il soit accidentel ou professionnel, ne fonctionne
ainsi.
En sciences, on part de contraintes, en principe expérimentales. Les
contre-exemples sont hélas nombreux ; en fausses sciences le gros des
contraintes est politique.

En 1860, au temps de Bunsen et de Kirchhoff, on n'avait pas les diamètres
des atomes de sodium ou de potassium, on n'avait pas de notion de photon,
mais déjà Gustav Kirchhoff avait établi que l'absorption d'un photon
par un atome est rigoureusement le même phénomène physique que son
émission.
Depuis nous avons des émetteurs et absorbeurs plus petits, des noyaux, et
surtout plus grands : molécules (dont colorants), cristaux, diodes,
phototransistors, etc.

Contraintes expérimentales : la lumière polarisée plane existe, voire
jusqu'à des distances astronomiques, les couches anti-reflets
fonctionnent, les couleurs interférentielles existent, la
radiocristallographie fonctionne fort bien ==> poubelle direct pour la
Sainte Dualité onde-corpuscule, les "aspects corpusculaires", le gros de
la mythologie Göttingen-K¢benhavn, hégémonique depuis 1927,
politiquement intouchable. Seules restent debout les ondes individuelles
et les foules d'ondes individuelles.

Définition transactionniste du photon :
Tout photon a un absorbeur. Un photon est une transaction réussie entre
trois partenaires : un émetteur, un absorbeur, et l'espace qui les
sépare ou les milieux transparents ou semi-transparents qui les
séparent, qui transfère par des moyens électromagnétiques un quantum
de bouclage h, et respectivement une impulsion-énergie qui dépend des
repères respectifs de l'émetteur et de l'absorbeur.
Je laisse provisoirement de côté les limites de cette définition
abrégée ; des transactions à cinq partenaires sont bien connues.

Et la contrainte incontournable de Fermat et Fresnel : Quel que soit le
diamètre intermédiaire du canal-fuseau de Fermat, toute l'onde
individuelle arrive en phase à l'absorbeur, éventuellement et dans les
limites de la longueur de cohérence de ce photon, à un nombre entier de
périodes près.

Restait à résoudre le défi d'un modèle géométrique du canal-fuseau
de Fermat nettement moins mauvais que l'approximation à courbure
constante, que personne n'avait encore améliorée.
Sachant que les moyens de validation ou invalidation expérimentale sont
difficiles et indirects.
Post by Olivier Miakinen
[...] On trouve des ordres de grandeur comparables
dans le cas des raies K_α des éléments lourds.
Idem.
Je place le suivi vers fr.sci.physique. Si jamais tu as réellement une question
mathématique, alors merci de préciser tous les termes au moment de poser ta
question.
--
La science diffère de tous les autres modes de transmission
des connaissances par une croyance irrévérencieuse : nous CROYONS que
les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes
sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, avec des
expériences soigneuses.
Python
2024-05-21 10:32:31 UTC
Permalink
Post by JC_Lavau
...
Il y a fort longtemps, en Maths 1, on nous avait inculqué une définition
des espaces compacts que je n'ai jamais comprise, ni même retenue. Du
genre "De tout recouvrement par une famille d'ouverts, on peut extraire
un sous-recouvrement fini".
Tu as fait ce qu'on appelle une crise de hachélisme : « ce que je je je
ne comprends pas à la première lecture est nul », ce qui se constate
aussi dans l’amoncellement de sottises que tu as pu sortir dès qu'il
est question de mathématiques ("courbes à une infinité de tangentes à
+/- 45°", ou encore [radian]^2 = -1 pour en citer les pires... sans
parler de ton usages à contresens de la notion de finesse d'une
topologie.)

Cette expression de la compacité est pourtant limpide dès que l'on
remarque qu'elle permet de formuler une contrainte unique, et simple,
la situation au voisinage d'une frontière et à l'infini ce qui est
un sacré tour de force qui mène à une caractérisation simple des
suites extraites convergentes et au calcul différentiel sans avoir
besoin de métrique définie partout (cf. la Relativité Générale et
les variétés Riemanniennes)
Post by JC_Lavau
L'axiomatique, jamais nos élèves n'ont fonctionné ainsi. Echec sanglant.
Jamais un trouveur, qu'il soit accidentel ou professionnel, ne
fonctionne ainsi.
Borel a trouvé comment généraliser la notion de mesure, Lebesgue a
reformulé la notion d'intégrale dans le "bon sens" ce qui a permis
de valider rigoureusement les calculs aventureux des physiciens,
Bolzano et Weierstraß ont pavé ce chemin.

Bah, tu as bien "trouvé" quelque chose à la longue : ton verbiage
sur les "fuseaux de Fermat" ne mène nulle part, c'était bien la
peine de déverser des tombereaux d'insultes sur fr.sci...
Benoît L.
2024-05-21 10:44:07 UTC
Permalink
Post by JC_Lavau
Post by Olivier Miakinen
[crosspost conservé, suivi positionné]
Formulé différemment : existe-t-il une transformation qui change le récepteur
infini à l'infini, en un absorbeur quasi-ponctuel à quelque distance, et qui
conserve la perpendicularité des fronts d'onde avec le vecteur de Poynting ?
Négatif : cette transformation n'existe pas. Le problème est original.
Post by Olivier Miakinen
En mathématiques le terme « transformation » est bien connu, ainsi
que quelques autres comme « vecteur », mais à moins que tu ne
définisses le sens mathématique de « récepteur », « absorbeur », «
quasi » (dans « quasi-ponctuel »), et même « Poynting », j'ai bien
l'impression que toute cette discussion est hors sujet dans
fr.sci.maths.
[…]
En 1860, au temps de Bunsen et de Kirchhoff, on n'avait pas les diamètres
des atomes de sodium ou de potassium, on n'avait pas de notion de photon, […]
Depuis nous avons des émetteurs et absorbeurs plus petits, des noyaux, et
surtout plus grands : molécules (dont colorants), cristaux, diodes,
phototransistors, etc.
Contraintes expérimentales : la lumière polarisée plane existe, voire
[…]
Post by Olivier Miakinen
Je place le suivi vers fr.sci.physique. Si jamais tu as réellement une question
mathématique, alors merci de préciser tous les termes au moment de poser ta
question.
Son principal défaut est qu'il sait écrire, mais pas lire.


[FU2 fsp]
--
La vie est courte mais je m’ennuie tout de même -+-Georges Feydeau -+-
Olivier Miakinen
2024-05-21 13:06:48 UTC
Permalink
Post by JC_Lavau
Il y a fort longtemps, en Maths 1, on nous avait inculqué une définition
des espaces compacts que je n'ai jamais comprise, ni même retenue. Du
genre "De tout recouvrement par une famille d'ouverts, on peut extraire un
sous-recouvrement fini".
J'ai une petite question : le fait que tu ne comprennes pas une notion de
maths est-elle une raison suffisante pour infliger du délire hors charte
dans le forum censé traiter de la matière que tu ne comprends pas ?

C'est une question rhétorique. Je n'attends en fait pas de réponse (puisque
elle serait elle aussi hors charte) et je fais suivre vers la poubelle.
--
Olivier Miakinen
Benoît L.
2024-05-21 20:54:17 UTC
Permalink
Nonobstant quelques doutes, le 21 mai 2024 à 15:06, Olivier Miakinen se
Post by Olivier Miakinen
C'est une question rhétorique. Je n'attends en fait pas de réponse (puisque
elle serait elle aussi hors charte) et je fais suivre vers la poubelle.
Tu comprends pourquoi j'avais demandé que des groupes (tous pour faire
simple) passent en modérés de façon à ce que quelques personnes ne
détruisent leurs intérêts via les diatribes incessantes et les
discussions sans fin de deux intervenants. Il y a des contribruiteurs
qui confondent les échanges privés par mail et les discussions
publiques, surtout sur Usenet où le filtre est exceptionnel.

C'est tout, il n'y a quasiment plus de discussion sur fufe. Pourquoi ?
Parce qu'il n'y a rien a sauver. fr.* n'est plus qu'une source de bruit
pour quelques énergumènes qui y trouvent un lieu pour y répandre leurs
idées sans filtre. Ce n'est plus ce que j'ai connu il y a trente ans et
d'autres des décennies avant.

A+
--
La terre est ronde, mais il y a des cons dans tous les coins.
-+-Albert Simonin-+-
Richard Hachel
2024-05-21 22:49:41 UTC
Permalink
Post by Benoît L.
Ce n'est plus ce que j'ai connu il y a trente ans et
d'autres des décennies avant.
Je conteste.

Je suis un dinosaure de usenet, et franchement je ne vois pas trop ce qui
a changé en 30 ans.

Le nombres d'intervenants? Certes.

Mais le problème ne vient pas de là.

Le problème est que les gens, en général, ne connaissent pas usenet
comme ils connaissent Facebook ou d'autres plate-formes.

C'est un peu comme si l'on demande à quelqu'un s'il va voter pour untel
ou untel et qui répond : "Mais je ne connais pas ce monsieur" ou pire :
"Ha? Celui qui est reconnu comme complotiste par les journalistes
macronistes et dit que les martiens vont nous attaquer avant le fin de
l'année?".

Vu comme ça, on comprend tout. Le problème est simple.
Post by Benoît L.
A+
R.H.
Benoît L.
2024-05-21 23:25:21 UTC
Permalink
A+
R.H.
Oui : Rien Hadire.
--
Bienheureux les fêlés, ils laisseront passer la lumière.
-+- S.C. dans « casse-moi pas les yeux » -+-
M.V.
2024-06-01 16:49:28 UTC
Permalink
Bonsoir,
Post by Benoît L.
C'est tout, il n'y a quasiment plus de discussion sur fufe. Pourquoi ?
Parce qu'il n'y a rien a sauver. fr.* n'est plus qu'une source de bruit
pour quelques énergumènes qui y trouvent un lieu pour y répandre leurs
idées sans filtre.
Tu aurais dû faire suivre vers frh car venant de toi et pour qui connaît
tes interventions sur les groupes Mac, ces propos (semblables à ceux que
tu as tenus ailleurs*) sont parfaitement risibles.

suivi sur fme (mais tu sembles incapable de respecter un fu2

* Comme si le fait de dénoncer ces comportements allait te dédouaner !
;-)
--
Michel Vauquois - <http://michelvauquois.fr>
<https://www.facebook.com/michel.vauquois.3>
efji
2024-05-21 13:14:46 UTC
Permalink
Post by JC_Lavau
Il y a fort longtemps, en Maths 1, on nous avait inculqué une définition
des espaces compacts que je n'ai jamais comprise, ni même retenue. Du
genre "De tout recouvrement par une famille d'ouverts, on peut extraire
un sous-recouvrement fini".
Grandiose!
Pour faire une comparaison, que penseriez-vous d'un gars qui se
prétendrait plus fort que Magnus Carlsen sur les forums mais avouerait
en douce n'avoir jamais compris comment se déplacent le fou et la tour.
--
F.J.
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