Post by YBMPost by Richard HachelYBM ne semble pas capable de nous donner de simples équations comme
celle de la vitesse apparente par rapport à la vitesse classique.
Je la démosntration sous les yeux, et elle suppose en plein milieu la
validité de la procédure de synchronisation d'Einstein.
La synchronisation d'Einstein n'est pas correcte.
Elle pose un a priori physique, qui n'est pas scientifique, selon lequel
il existe une simultanéité absolue dans un référentiel donné.
Einstein pose le principe religieux que tous les gares d'un réseau SNCF,
ou que tous les bancs d'une école, ont une notion absolue de l'instant
présent, chose partagée par tous les observateurs, et qui vaut pour tous.
Il pense ainsi trouver une solution pour accorder toutes les montres, solution
simple, solution mathématiquement impeccable, mais solution physiquement
fausse.
L'univers n'est pas fait comme ça, il n'y a pas de simultanéité absolue
dans un référentiel donné.
Point barre.
On en arrive alors à des conclusions complétement en dehors de la plaque,
et le Dieu germano-américain croit se la pêter en posant des singeries
verbales telles que:
"la notion de simultanéité est relative par changement de référentiel".
Mais quel singerie verbale, quel propos de singe!
Mais t'as rien compris, mecton, t'as rien compris.
Mais c'est le contraire qui est vrai!
C'est DANS le repère inertiel donné que le notion de simultanéité est
relative, et PAR CONTRE, des milliards d'observateurs se croisant en un même
lieu, observent tous le même univers présent (mais déformé spatialement).
Einstein semble confondre bathmotropie et simultanéité.
OUI, la bathmotropie est relative par changement de référentiel inertiel,
et est parfaitement constante dans un même référentiel donné (toutes
les montres d'une même pièce battent à la même vitesse).
NON la simultanéité n'est pas relative par changement de référentiel,
puisque toutes les entités (pour peu qu'elles se croisent au même
endroit) décrivent le même univers présent, et NON la simultanéité n'est
pas absolue dans un même référentiel inertiel pour plusieurs observateurs
qui viennent à s'y poser.
Point barre.
Maintenant, je donne mon équation des vitesses apparentes.
On pose un objet se déplaçant à vitesse Vo, sur une distance x, en un temps
t,
et sur un angle µ, formé avec l'angle de visée de l'observateur externe.
On a t=x/Vo pour un observateur transversal.
Pour l'observateur "longitudinal", va s'ajouter à la durée t, une durée
dt, telle que dt=a/c (ou a est la composante longitudinale).
Soit t'=t+a/c avec a=x.cosµ
on sait que x=Vo.t
On a donc: t'=t+t(Vo/c)cosµ
Soit l'équation (dont je me demande comment tu peux dire que ça sort
d'un chapeau:
t'=t(1+cosµ.Vo/c)
Equation physique directement apposée à la réalité des choses (et non
au "retard du à la vitesse de la lumière").
On va alors avoir Vapp=Vo/(1+cosµ.Vo/c)
Maintenant, si l'on veut le rapport entre la perception du temps entre
l'objet et l'observateur, il ne faut pas oublier d'utiliser
la notion de bathmotropie (et non la notion de simultanéité).
Introduction du facteur gamma.
On va donc avoir t'=t(1+cosµ.Vo/c)/sqrt(1-Vo^2/c^2)
Les horloges de l'objet tournent moins vite lorsqu'il fuit
(où même passe transversalement), et plus vite lorsqu'il approche.
Le notion de dilatation des temps est donc fausse par omission.
Si l'objet fonce sur nous, son temps passe réellement plus vite
pour nous.
Je peux pas mieux dire, ni mieux expliquer.
Le reste, ce n'est qu'abrutissement d'un peuple de singes, qui croit
avoir tout compris de la RR et se la pête devant ceux qui démontrent
qu'il y a une énorme faille de raisonnement, faille conduisant
à des vitesses apparentes non symétriques, ce qui est une pure absurdité,
et une franche contradiction du principe de covariance relativiste.
Poussière mise sou sle tapis en "affirmant" que le Langevin, ce n'est plus
de la RR puisqu'il y a eu accélération.
C'est débile.
AUCUN rapport avec le sujet du Langevin, l'erreur ne venant pas de là.
R.H.