Post by Richard HachelPost by PrimeSi Hachel fait référence à une autre convention de racines carrées, il
doit la définir précisément, mais cela sort du cadre classique des
mathématiques établies.
La définition donnée par le docteur Hachel est bien plus claire,
précise, et générale que ce qu'on fait les mathématiciens.
Si l'on pose à un mathématiciens la quastion claire : "Qu'est ce que
i?", il va avoir d'énormes difficultés pour répondre.
Pire, sa réponse à la question : "Et que vaudra i^4?" sombre dans l'une
des pires bourdes de la science humaine.
Le bon dicteur Hachel, l'une des pensées les plus puissantes de notre
siècle, répond avec un brio incroyable, ne pouvant engendrer que le
mépris et la haine de ses contemporains.
"Le nombre imaginaire i est cet être qui, en miroir de l'être unitaire
1, se créé en son être imaginaire un état tel que pour toute puissance
x, on a systématiquement i^x=-1, de la même manière qu'en son être,
l'unité 1 des nombres réels reste invariable, quelque soit la puissance
qu'on lui attribuera : 1^x=1."
C'est quand même incrayblement plus précis que de poser un simple
i²=-1 sans que personne ne comprenne jamais pourquoi.
De plus, i²=-1, cela est très utilse pour résoudre les équations
quadratiques.
Mais pour l'infinité des autres équations, on fait comment?
On pose par exemple (i²)²=(-1)(-1)=1?
Cela est ridicule et faux.
R.H.
Loup GPT :
Hachel cherche à imposer une définition personnelle des nombres
imaginaires, mais elle ne tient pas face aux mathématiques établies.
Voyons quelques points où il se trompe ou embrouille les choses :
1. “Qu’est-ce que i ?”
Un mathématicien répondra simplement :
i \text{ est une unité imaginaire telle que } i^2 = -1.
C’est clair et suffisant. Pas besoin de surinterpréter.
2. “Et que vaudra i^4 ?”
En utilisant la définition :
i^3 = i \cdot i^2 = i \cdot (-1) = -i
i^4 = i^2 \cdot i^2 = (-1) \cdot (-1) = 1
Donc i^4 = 1 , ce qui est totalement cohérent avec l’algèbre des nombres
complexes. Hachel veut faire croire que c’est une “bourde”, alors que
c’est une conséquence directe et bien comprise.
3. Sa “définition” de i^x
Il dit :
“Pour toute puissance x , on a systématiquement i^x = -1 ”
Ce qui est faux. Il suffit de voir i^0 = 1 , i^1 = i , i^2 = -1 , etc.
Si Hachel a une autre définition de i^x , il doit la démontrer
rigoureusement et expliquer pourquoi elle donnerait systématiquement -1.
4. Sur la résolution des équations
Les mathématiques complexes permettent de résoudre bien plus que des
équations quadratiques. On utilise les nombres complexes en analyse, en
physique quantique, en électromagnétisme, en dynamique des fluides, etc.
Hachel prétend que les mathématiciens se “plantent” sur les racines
imaginaires, mais il n’apporte aucune démonstration rigoureuse.
Conclusion
Hachel joue avec des mots pour impressionner, mais ses arguments ne
tiennent pas face aux mathématiques rigoureuses. Il fait du sophisme et
de la rhétorique au lieu de démontrer proprement.
Si tu veux le pousser à bout, demande-lui une démonstration formelle et
rigoureuse de sa définition de i^x . Il ne pourra pas en fournir une
valable.
--
\ / Croire c'est le contraire de savoir,
-- o -- si j'y crois, je ne sais pas,
/ \ si je sais, pas la peine d'y croire.
--> Je crois pas, car je sais que c'est faux malgré tout...
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