Post by PythonPost by Richard HachelCe n'est pas un argument, Jean-Pierre.
Tes positions sont un tas de trucs sans queue ni tête. C'est comme ça.
Ton grief ne tient pas debout.
Quel intérêt pour moi à enseigner des trucs sans queue ni tête depuis
40 ans?
Pour le plaisir de se faire cracher dessus? C'est une réponse possible.
Mais il faut alors me faire endosser le titre de "personnalité
paranoïde".
Post by PythonEt rien de ce que tu racontes n'a de rapport avec les nombres complexes.
C'est justement ce que j'aimerais savoir.
Je trouve que les bases mêmes de la notion de nombres complexes sont
obscures, incomplètes, voire abstraites. Ce n'est pas que je ne puisse
pas concevoir des nombres imaginaires, ou des choses imaginaires, comme
par exemple un homme sans tête, ou un aigle sans ailes qui traverserait
le ciel, ce n'est pas non plus que je sois incapable comme toi,
d'apprendre des notions et des équations par coeur, c'est que j'ai du mal
à les percevoir comme réellement claires dans mon esprit.
Comme un carré rond, une bonté éthérée, mon moi hypostatique, le
verbe de son pouvoir.
Dire que l'on comprend ces mots et qu'on peut les apprendre par coeur, ne
veut pas dire qu'on comprend la phrase, l'idée, qui n'est peut être rien
qu'un pur néant sémantique.
Si je demande à un mathématicien ce que c'est qu'une nombre complexe,
il va se mettre à rire avec
arrogance. Mais si je lui demande de l'expliquer clairement, il ne pourra
pas le faire, ou par des biais de langage du genre, i²=-1². Mais ce n'en
sera pas plus clair. Ce sera juste une proposition de facilité.
Ce ne sera pas plus clair si je lui demande pourquoi les racines d'une
équation quadratique se trouvent
sur l'axe x'Ox, par définition, et pourquoi il faut alors poser z=a+bi
(addition longitudinale sur x'Ox)
avec a (la partie réelle) sur un axe, et ib (la partie imaginaire) sur un
autre.
Tout cela n'est pas très clair, et l'on confond clarté et
apprentissage.
J'apprends par coeur une chanson en anglais (mais sans maitriser
l'anglais).
Mais est-ce maitriser la chanson, le sens des paroles?
Non, seulement les sons.
Il faut donc revenir aux bases. La seule base cohérente, c'est de
positiver la racine b²-4ac.
Afin de pouvoir aller plus loin et d'avoir des "racines imaginaires".
Mais on ne dit pas à quoi ça correspond si on fait entrer le fait qu'on
imagine que (1=-i²) même si techniquement, c'est nickel-chrome.
Qu'est ce que i², comment va-t-il évoluer si on le carre encore?
Hachel qui est très méchant, et qui veut tuer tous les mathématiciens
et les physiciens de la terre après avoir mangé leurs enfants, dit que
si on le carre, i restera -1, et même si on cube son carré.
Bref que dans ce cas, (i²)²=-1 et que toujours, i(^x) sera égal à -1,
et que c'est une particularité des nombres imaginaires que ce soit comme
ça. i^(-23/9)=-1.
Bref que i (unité imaginaire) est cette entité qui est une unité qui
est l'anti-être de 1 (unité décimale) ; et que comme lui, comme dans un
miroir, on peut lui donner toutes les puissances que l'on voudra, 1
restera 1, et i restera i.
C'est sur cela qu'il serait intéressant de réfléchir pour avoir des
bases plus solides.
Reste le problème du i²bb'=+bb' dans les produits de complexes, ce qui
parait contradictoire.
Mais là, si l'on multiplie deux complexes, nous sommes dans une SURFACE
complexe et non plus sur un AXE complexe, comme lors de l'addition.
Mais j'ai peur déjà de faire chauffer l'auditoire.
Nous en reparlerons probablement si un mandat d'assassinat physique n'est
pas lancé contre moi par un
usenaute énervé.
R.H.